Le cauchemard de l’injonction pour le vivre-ensemble a franchi un nouveau palier depuis la fin du confinement : nombreux sont désormais ceux qui ne font même plus semblant de vouloir vivre avec nous.
Ils tendent des embuscades aux pompiers, ils attaquent des policiers et des gendarmes, ils apparaissent au grand jour bardés d’armes de guerre, ils bravent les interdictions de se rassembler, ils agressent ouvertement nos concitoyens, ils dégradent les symboles de notre République et détruisent ce qui se trouve sur leur passage.
Ils sont puissamment appuyés par la bienveillance des élites médiatiques ivres, pour la plupart, de revendications racialistes, de délires diversitaires et d’idéologies pourtousistes. Ces élites les gratifient d’une attention et d’une glorification qui, si elles ne représentent en rien l’opinion de la masse du peuple français, offrent à leurs méfaits une caisse de résonnance d’une ampleur incomparable. Ils donnent ainsi des ailes aux communautaristes, délinquants et criminels de tous acabits qui y trouvent une forme de légitimation et y puisent un nouvel élan pour accentuer leurs assauts contre notre corps social.